Ça suffit ! Reconstruire le nord, « oui » mais que les armes se taisent
Il faut rappeler, le 24 et 25 mars dernier, a été marqué par la rencontre sectorielle sur le financement des infrastructures des transports qui regroupait les partenaires techniques et financiers et le gouvernement malien en vue de mobiliser les fonds destinés à la reconstruction des infrastructures en matière des transports dans le septentrion du Mali. Cette rencontre initiée par le ministère de l’équipement, des transports et du désenclavement était présidée par le premier ministre, Modibo Keita. Alors qu’elle s’effectuait en faveur des populations parmi lesquelles, d’autres ont pris les armes contre leur pays sous ATT, sans se voiler la face, qu’on se dise toute la vérité, on ne peut pas continuer à reconstruire chez celui, qui continue de détruire. Cependant tout le temps qu’on investit chez eux, pour améliorer les conditions de vie des populations, ces bandits nous ont fait assister au vol des équipements de travaux mobilisés sur le terrain pour la bonne cause. Voilà, ce qui revient sur leur langue hypocrite, accusant l’Etat du Mali de ne rien faire. Alors sans qu’ils ne s’interrogent, un jour viendra c’est parce que l’Etat est consécutif de plusieurs générations, les frères du sud doivent exiger le remboursement de leurs impôts auxquels, ils ont été spoliés en tentant de bâtir chez celui qui n’a de morale de piller les autres pour la raison du retard que le nord accuse vers son développement, ils sont les véritables responsables, le peuple du sud n’est pas dupe, il devrait être remboursé au fil de temps à venir. Les actes qu’ils infligent à notre nation, saurait se rappeler un jour, que son sous-développement s’avère du comportement belliqueux des rebelles qui n’abonnent à leurs actes de trahison contre les autres qui ne clament la paix et rien que la paix durable s’impose , s’ils souhaitent voir chez eux, se bâtir les armes doivent se taire, autant de continuer à prononcer le mensonge qui n’a que trop duré avec l’expression de l’imaginaire Azawad.
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