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L’espoir qui avait suscité la nomination de l’actuel Directeur national Michel Dembélé tourne déjà cauchemardesque après le départ l’ex ministre Moussa Ag Alassane et d’Issa Keita, son adjoint de l’époque. Ce dernier a assuré l’intérim du directeur national du contrôle financier après la nomination au gouvernement de Moussa Ag Alassane. Il a été remplacé par Sékou Diani bombardé à la tête de la Direction Générale du marché public par Boubou Cissé, qui cumule le fauteuil du Premier ministre et le ministre de l’économie et des Finances connaissant le seul secret parce que la nomination de Sekou Diani n’est pas anodine à cause des relations ambigües avec son bienfaiteur.

Michel Dembélé, l’actuel directeur national, était connu à son arrivée d’un homme intègre sous d’autres cieux et ceux qui l’ont côtoyé dans leur carrière. Avec plus de 14 ans cumulés dans son poste, l’ancien directeur national du contrôle financier du Mali Moussa Ag Alassane n’était de rien, affichait malgré les résultats comparant à l’actuelle méthode de Michel Dembélé. Si elle a de synonyme c’est bien la contre-performance déjà visible presque un an de sa nomination. Et pour plusieurs raisons qu’on reproche à lui pour sa méthode qui sonne l’insuffisance dans le travail, la lenteur des procédures de visa surtout celles qui relèvent personnellement de la compétence du patron, lui-même, de la boite. Il est accusé d’avoir failli à mettre en place un système cohérent pour des résultats visibles et performants.

Plusieurs dossiers soumis à la signature tels que le cas de certaines institutions de la République peuvent durer autant qu’il faut, ne lui gène aucunement pendant que les prestataires attendent longtemps la signature ou du visa de la direction nationale du contrôle financier. Sa méthode pour un travail cohérent est dénoncée et montre toute la limite pour des résultats probants souhaités. Les informations nous remontent que plusieurs dossiers déposés à la signature trainent sans en avoir satisfaction en 72 heures. Tant la méthode de Michel est décriée. « Une seule structure peut au cours de l’année connaitre comme cela fut le cas en cette année, différents signataires pour le visa du contrôle financier et le temps, entre l’institution concernée et son signataire de se connaitre, il instruit le changement bidon sans raison aucune officiellement soutenue ». Tant pis avec la lenteur dans les procédures de visa qui connaissent suffisamment d’obstacle pour ne citer l’absence de méthode et parfois qui durent à la signature sans motif majeur.

A suivre

La rédaction

Source:La Relance