Alou Boubacar Diallo, candidat à l’élection présidentielle : Victime d’une manœuvre politique
Décidemment les détracteurs d’Alou Boubacar Diallo ne dorment que d’un œil depuis l’annonce de la présentation de sa candidature à l’élection présidentielle. Malgré son score, ils ne renoncent pas à nuire son image auprès de l’opinion publique. Ainsi les brèches colmatés ont pour slogan d’innombrables plaintes contre l’homme pour escroquerie, recel et abus de confiance déposées contre lui en Afrique du Sud, en Mozambique, en Espagne puis au Nigeria en Afrique de l’Ouest, Aliou Boubacar Diallo, longtemps spécialisé dans le blanchiment d’argent, de connivence avec certains réseaux mafieux du Maghreb, veut le fauteuil présidentiel. Mieux la garantie d’obtenir le fauteuil présidentiel, il suffit d’en remplir les critères. Non les partisans du président sortant, candidat à sa propre succession ne digèrent plus qu’il soit candidat.
Selon certaines opinions en 2013, il est cité parmi les soutiens à IBK comme plusieurs autres personnes se réclament d’avoir été victimes de la trahison. On lui croit sous menace car se sentant menacé et ses intérêts, qu’il aurait pétrie dans les sales affaires mais sans preuve, rapportent ses détracteurs qu’il veut une protection, du moins une immunité pouvant lui permettre de circuler dans certains pays européens et du Maghreb.
Décembre 2014, selon les partisans d’IBK « l’homme d’affaires malien séjourné pendant 72 heures dans une cellule anticriminelle marocaine. Ce jour, il a failli compromettre le Chef de l’Etat Ibrahim Boubacar Keïta en le faisant intervenir pour se tirer d’affaire ». Que ne fait on pas pour abattre un adversaire ? Tout, la réponse est connue.
Dans les locaux des services secrets marocains, une découverte: le Malien Diallo circule avec un vrai faux passeport diplomatique de la Guinée Conakry. Sur l’axe Bamako-Conakry-Rabat, survient un séisme.
L’incident diplomatique entre le Mali et la Guinée d’une part et le Maroc d’autre part, à cause d’un homme, selon ses contradicteurs envahit le monde des Affaires. Mais, de l’avis de Sa Majesté le Roi Mohamed VI, il faut tirer l’affaire au clair.
Comment le Malien-Guinéen a pu s’introduire dans le palais royal ? Que cherchait-il et avec qui traite-t-il ?
Selon les enquêteurs, le milliardaire malien s’est introduit dans le palais royal de Rabat via un homme d’affaires marocain qui lui a, lui aussi, été présenté par le Président guinéen Alpha Condé.
Début décembre 2014, alors que le Sieur Diallo s’est habitué du palais de Rabat, la surprise advient : le Roi Mohamed VI est informé par les services secrets des liens occultes qu’entretient un homme d’affaires étranger avec certains responsables du Palais.
Dans leur schéma, Monsieur Diallo se présente comme une cible à abattre parce qu’il ne s’est allié.
Depuis, le Sieur est interdit de séjour au Maroc et dans les pays maghrébins.
Pour avoir fait retirer son parti ADP-Mali de la majorité présidentielle, on l’accuse de se venger d’IBK à travers le choix de sa candidature.
A Condé également, Diallo promet de soutenir son opposant Cellou Dallein. Risque que ce dernier aussi, bien aimé du Roi Mohamed VI, craint gros. Voici le plat qu’on réserve à son adversaire lorsqu’on ne souffle plus dans les mêmes trompètes pour tromper les esprits. Pour quoi maintenant toutes révélations en cette période où chaque candidat à l’élection présidentielle a besoin de soigner son image auprès de l’opinion publique, mais dommage ! C’est le moment choisi par X, pour monter au créneau d’empêcher tout le crédit qu’il pourrait avoir auprès de l’opinion publique malienne.
A bon entendeur, Salut !
La rédaction
Source: Le FORUM
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