La Flèche de la relance
Prolifération des bars en commune IV
Un médecin, chef de service indexé
Cet homme dont nous préférons taire le nom est connu de tous au sein d’une activité de promotion des espaces culturels, plus précisément les bars restaurants. Il n’est pas reproché de n’avoir pas accompli sa mission de couverture sanitaire mais ses œuvres d’installation souvent anarchique des bars en sont des préoccupations majeures des populations de la commune IV.
Actuellement, il est promoteur de 5 bars restaurants, enregistrés sous des fausses identités dans les services des impôts. Ces espaces culturels sont durement reprochés dans la commune IV comme étant des facteurs intégrants d’influences des enfants vers les pratiques dégradant nos mœurs.
Selon notre source, cet agent chevronné dans le domaine de la santé a l’intérêt de veiller sur l’application stricte des textes en vigueur afin d’éviter d’éventuelle soulèvement population dont il paiera les frais.
Infidélité des responsables maliens
Un chef de service en plein ébats sexuel avec une fille de 16 ans
Incroyable mais vrai ! Un chef de service aurait été pris la main dans le sac en train de s’amouracher avec une fille de 16 ans. Selon notre source, il aurait été surpris par une équipe policière en patrouille la nuit du 19 au 20 Février 2017. Sur place, il a vite essayé d’étouffer l’affaire en remettant une grosse somme de trois (3) millions aux policiers. « N’hésitez de me solliciter lorsque vous aurez un problème », a-t-il lancé aux policiers avant de les remercier !
Poste de péage de Djikoroni-coura dans la commune rurale de Mandé
Les agents de la gendarmerie rackettent les motocyclistes
Le poste de péage à Djikoroni coura est devenu un lieu de racket des motocyclistes de la part des pandores qui oublient leur mission de sécurisation. Aux dires des motocyclistes en provenance de Siby, de Kamalé et autres, il suffit seulement que ces éléments de ce poste voient une moto toute neuve pour commencer leur racket. Ainsi, ils se mettent à demander le document officiel afférent aux engins concernés. Malgré que les usagers soient minis de tous les papiers justificatifs de leurs engins, se verront quelque part taxés par ces gendarmes. « Nous avons signalé cette pratique des agents de ce poste à qui de droit mais jusqu’ à preuve de contraire rien n’a changé dans leur comportement de racket », nous a confié un usager avant de lancer son cri de cœur aux autorités compétentes.
Le désinternement des cadavres dans la commune rurale de Naréna
5 corps enlevés de leurs tombes entre 2015 et fin 2016.
Naréna est une zone par excellence d’extraction minière. Dans ce cas plusieurs ethnies de l’Afrique de l’Ouest comme du centre y s’introduisent. Et cela n’est pas sans conséquence. Les habitants en provenance de divers horizons sont capables de tout pour se procurer d’argent. Ils ont reçu à développer ces pratiques ignobles au Mali plus précisément dans les mines traditionnelles. Voilà une panoplie d’explications qu’on peut donner sur l’histoire de l’introduction de cet acte inhumain à Naréna.
Cette pratique, faut-il le rappeler, n’est pas courante dans notre pays, mais le désir de devenir riche pousse les gens à agir en négative. Selon nos investigations, cet ex-arrondissement dans le cercle de Kati à la frontière Guinéenne connait des pratiques étranges. A la date d’aujourd’hui, cette agglomération enregistre dans son histoire 5 cadavres désinternés. Selon nos sources, tous ces désinternements ont été orchestrés entre début 2015 et fin 2016. Le hic est que les présumés auteurs courent toujours.
Des familles qui s’impatientent, les autorités répondent que les enquêtes sont en cours. La question est de savoir à quand exactement ces parcours judiciaires aboutiront ?
Interdiction du Stationnement des gros porteurs à Samé
Le commandant CCR prend les taureaux par les cornes
Le lundi 20 février dernier, le nouveau commandant de la compagnie de la circulation routière (CCR), Abdoulaye Coulibaly a décidé d’interdire le stationnement des gros porteurs sur l’axe Bamako et Kati, en passant par Samé. Le stationnement est interdit à la fois pour les chauffeurs qui quittent Kati, comme pour Bamako et vis-versa, et la décision a été prise en concertation avec les syndicats des transporteurs.
Selon le commandant de la compagnie de la circulation routière (CCR), Abdoulaye Coulibaly, « cette mesure intervient suite à une interpellation de la population de Samé à travers une lettre adressée sur le danger des stationnements anarchiques des gros porteurs qui provoquent régulièrement des accidents. C’est ainsi que j’ai immédiatement rencontré la notabilité de Samé pour sérieusement discuter avec elle de la question », a-t-il souligné. Au cours de cette rencontre, les autorités coutumières de Samé, lui ont exprimé leur sympathie pour cette sage décision de les rencontrer. « La population de Samé a trop souffert des cas d’accidents sur cette route et la cause est due au stationnement des gros porteurs, mais bien avant l’interpellation de la population, c’était déjà dans le logique d’interdire le stationnement des gros porteurs sur la route de Samé », a expliqué Abdoulaye Coulibaly.
Après la rencontre avec les habitants de Samé, il a prévenu les syndicats des transporteurs pour leur faire part de sa décision d’interdire à partir du 20 février 2017, le stationnement des gros porteurs sur la route de Samé. Un site vers Kati a été trouvé pour que ces gros porteurs puissent être stationnés dans l’ordre désormais pour la sécurité de la population de ce quartier. Le commandant de la CCR a reconnu que la mesure va entrainer des coûts que la structure est prête à supporter avec surtout la mobilisation d’au moins deux motards qui veilleront à l’application stricte de la nouvelle règle en faisant des tours régulièrement de l’axe Bamako et Kati pour empêcher le stationnement des gros porteurs sur cette route.
C’est dans le but de mettre fin aux accidents récurrents causés par le stationnement des gros porteurs sur la route de Samé, que le nouveau commandant de la CCR (Compagnie Circulation routière) a pris cette décision pour la sécurité de la population, et c’est une mesure salutaire qu’il faut encourager de sa part, selon un habitant de quartier qui se réjouit beaucoup de cette mesure d’interdiction.
Sira Samaké
Source: La Relance
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