Djibrilla Haïra Maiga, Directeur Général de l’agence nationale de la Météo:« La fréquence de l’intensité de phénomène météorologique commence à avoir de gros impact sur l’économie »
Au cours de la 14ème session du conseil d’administration budgétaire qui s’est tenue ce lundi 30 décembre 2019, le directeur général de l’Agence Nationale Météorologique a accordé une interview à la presse.
Il a donné des détails assez importants sur les différentes actions réalisées et celles en perspective dont l’agence est invitée à relever les défis. Djibrilla Haïra Maiga a mis beaucoup l’accent sur le renforcement de capacités de sa structure en vue de continuer à mieux jouer son rôle dans le développement qui a trait à toutes les activités humaines doivent être accompagnées de bonnes informations météorologiques aux quelles chaque usager devrait en faire recours dans son quotidien. A l’instar de chaque fin d’année, la session budgétaire se réunit, il s’agit de faire, comme celle-ci le compte rendu des réalisations menées au cours de l’année d’exercice, de préparer un programme d’activité 2020 et son budget y afférent.
A l’en croire, ce conseil d’administration se réunit également pour renforcer l’agence nationale de la météorologie en vue de satisfaire les besoins de plus en plus croissants en informations météorologiques. Car, selon lui, la fréquence de l’intensité de phénomène météorologique commence à avoir de gros impacts sur l’économie et la société en général. Maintenant, a-t-il expliqué, il s’agit de renforcer cette capacité pour pouvoir prévenir les phénomènes météorologiques ou, au cas, de diminuer leurs impacts en perte de vies humaines, sur les routes et l’agriculture etc.
S’agissant des perspectives pour 2020, il faut un renforcement de notre capacité, a-t-il plaidé pour pouvoir continuer à fournir des informations météorologiques fiables et appropriées à tous les usagers pour que l’information météorologique soit un véritable levier voir outil de développement et qu’elle contribue à réduire de façon significative face à l’impact des catastrophes sur la population, sur les routes, l’agriculture.
Abdoulaye Diarra
Source:Le FORUM
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