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Dans son interview  accordée à la presse juste après  l’ouverture de cet atelier, hier, le Directeur Général de l’Agence Nationale de l’Aviation Civile (ANAC), Oumar Mamadou Ba, se félicite de l’organisation de l’atelier et sa tenue au Mali. Le directeur général était accompagné lors de l’entretien de son adjoint. Voilà un duo gagnant qui sert avec patriotisme leur pays à travers l’ANAC. La cohésion et l’entente contribuent efficacement à l’atteinte des objectifs du service. Ce qui s’est démontré par la distinction du Mali par l’OACI aux regards des performances enregistrées par la structure.

Cet atelier, selon lui  vise à familiariser les inspecteurs sur les manuels de la surveillance continue des aéroports et les aérodromes. A l’en croire l’objectif est de mettre en œuvre les nouvelles réglementations communautaires et les procédures associées de la surveillance continue des aéroports. L’atelier se déroulera pendant dix jours ouvrables, a-t-il souligné. Les travaux sont consacrés à la généralité de réglementations, les procédures associées, la certification comment y parvenir-t-elle ?, a précisé Monsieur Ba.

« Cette formation axée sur la familiarisation avec la réglementation pour leur mettre en œuvre, après la généralité il y aura les manuels des aérodromes, examinés  avec des outils qu’il faut y compris les différents phasages d’une certification, procéder par les exercices pour arriver à obtenir une vision harmonisée sur la certification », a-t-il ajouté.  Car une chose certes, selon lui, est de certifier un aéroport, mais de le bien certifier et ensemble, quant à chaque Etat membre de l’Union. « Chacun ne devrait pas certifier son aéroport comme bon lui semblerait ». Les attentes, à savoir pour lui, c’est d’avoir une vision harmonisée de la certification, pour ce faire il prend un exemple qu’il faudrait bien que l’aéroport de Monreale soit bien certifié comme à Bamako, à Paris ainsi qu’à Nouakchott », a déclaré le directeur général de l’Anac.

A D

Source: LE FORUM