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Malgré la menace terroriste et quelques déconvenues, les Maliens ont voté le dimanche 29 juillet pour choisir leur nouveau président. La crainte de la violence qui planait  sur l’opération dans  l’ensemble du pays n’aura été  qu’une fausse  frayeur. A part quelque éclat de voie dans certains bureau de vote, on peut dire que le scrutin s’est dérouler sans incident majeur dans la capitale et environ. Dans le nord et dans le centre du pays, comme on pouvait s’y attendre, malgré le dispositif sécuritaire des actes déplorables ont été perpétré par les ennemies de la paix, du vivre ensemble et de marche vers l’avenir. Pour une fois encore le peuple Malien  a fait preuve de détermination dans sa quête d’un mieux-être. Données pour incapables  pour relever le défi de la tenue des élections par beaucoup d’observateur, les autorités du pays ont fait mentir plus d’un en réussissant le pari de l’organisation et la tenue du scrutin  dans un contexte largement défavorable. Le mérite de la tenue de ce premier  tour revient au gouvernement mais aussi à tout le peuple Malien qui a relevé le pari de la participation  de son mieux. Désormais les yeux sont tournés vers l’administration territoriale et la cours constitutionnelle, deux qui ont  qui ont la délicate mission d’entériner  les résultats du scrutin. C’est seulement après la proclamation des résultats définitifs,  qu’on pourra pousser un ouf de soulagement. En attendant, la lucite qui a prévalu au moment des votes doit être de mise dans l’accueille des résultats définitifs rien que pour le Mali. Le mali, faut-il le rappeler est un bien commun qui doit être préservé par tous et partout.

La Redaction

Source : La Relance