Editorial : Ça suffit !
Obama ne nous a pas assez aidés !
Les américains ont désigné, ce mardi 08 novembre, leurs quarante- cinquième présidents qui va succéder à Barack Obama à la maison Blanche. L’élection d’Obama avait beaucoup suscité les espoirs à son arrivée à la tête de la première puissance économique mondiale avant de décevoir l’Afrique.
Les africains croyaient qu’il allait s’approcher du continent noir. Mais cela n’aura été qu’un rêve sans parvenir à sa réalisation ou certainement les africains avaient oublié que le président des Etats Unis n’est pas celui de toute l’Afrique. Peu importe l’arrivée à la Maison Blanche de Donald Trump, pour plusieurs africains qui croiront peu d’un changement dans les rapports entre l’Afrique et les Etats Unis d’Amérique, bien que première puissance mondiale. Sur le plan de lutte contre le terrorisme, le bilan reste lamentable car c’est les conséquences des mauvaises politiques des puissances qui sont sources de l’extension du terrorisme dans le monde et les pays pauvres font le frais. Lorsque le terrorisme s’attaque aux investissements de cinquante ans de réalisation s’écroule en si laps de temps, faut il combien d’année pour reconstruire ? Le meilleur service que le premier président noir des Etats-Unis pouvait rendre à l’Afrique était de bien servir son peuple. L’Afrique très enthousiaste à l’arrivée d’un premier président noir des Etats Unis. Certains Africains plaçaient, en effet, en Barack Obama des espoirs immenses. A en croire les africains, dans leur majorité, il a déçu parce qu’il n’aurait pas apporté à l’Afrique du développement par l’aide et de la démocratie par son influence. La seule question sérieuse que l’Afrique doit se poser, devrait être de savoir si Obama a réussi à bien gouverner son pays, les Etats-Unis. Si la réponse est oui, alors, il aura tellement aidé l’Afrique ! Et la réponse est oui ! On pourrait décliner toutes les réformes marquantes opérées par ce président, sur le plan politique, sur les grands sujets de société, sur les droits, la protection des citoyens, notamment par rapport aux banques, à la bourse… Et, indicateur universel de bien-être de l’économie, le taux de chômage, le mois dernier, est tombé à 4%. Il tournait autour de 10%, au moment où Obama entrait en fonction, en janvier 2009.Le commentaire sur son bilan réserve peu de commentaire.
Source : LE FORUM
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