Editorial: Ça suffit ! L’ambassadeur Gilles Huberson prêche dans le désert !
Malheureusement qu’il soit en fin de mission à Bamako pour se prêter à tel discours calomnieux de sa part, ainsi permettre de se prononcer sur Kidal encore, à travers sa sortie démesurée pour insulter les maliens, comme dirait-on de se moquer. Alors qu’il est en fin de mission, mais au Mali on se rappelle ce qu’il a fait concrètement pour mettre fin à ce problème de Kidal dont son prolongement ressort de la complicité coupable de son pays.
Pour se moquer unièmement aux maliens il n’a pas eu honte de dire, « le problème de Kidal doit être réglé entre les maliens ». Car son pays sans égal de belles promesses, de paroles sucrées. Voilà ce qu’il a fait pendant les quatre (4) ans de crise que son pays la France n’a fait subir aux maliens sa complicité affichée avec les rebelles d’où le prolongement de la crise, et maintenant pour jouer à la farce et la comédie il préfère s’exprimer sur Kidal comme s’il en vaut la peine cependant la ville de Kidal demeure aujourd’hui sous l’administration de la CMA, c’est parce que l’armée nationale a été chassée au profit d’elle.
La question semblerait-il se poser : Qu’a-t-il fait son pays pour que les maliens connaissent un dénouement heureux ? Mais nous savons que votre France n’est pas blanche neige dans cette affaire de Kidal. Voilà après trois ans et demi de fonction au Mali qu’il prêche dans le désert à la cérémonie d’adieu «« le problème de Kidal doit être réglé entre les maliens », véritable acteur de la prolongation de la crise a rendu complexe la situation autant qu’on y pensait à son arrivée de donner l’espoir alors pouvait bien se résoudre par le dialogue entre maliens nous savons tous, la résolution de la crise a été impossible au point qu’on fait croire aujourd’hui qu’elle dépasse la compétence de notre frontière alors par le jeu trouble de son pays en faveur des rebelles, qui ont mis leur pays à cinquante ans de retard pour construire la France dans les cent ans à venir. Malgré la signature de l’accord d’Alger en juin 2015, cela n’a permis ni le sud encore moins le nord de tourner cette page sombre. Elle, qui a peint tout en noir faisant croire qu’elle aide le Mali par la suite IBK s’en est rendu compte de réalité et l’a même avoué qu’il a été obligé de négocier avec les rebelles. Ce que Gilles Huberson oublierait, peut-être, faut-il lui rappeler que si le problème était seulement malien, il pouvait se résoudre entre les maliens.
Abdoulaye Adama Diarra
Source: LE FORUM
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